Le " subprime " est un crédit hypothécaire. Il a été mis en place sous la présidence d' un amateur de cigares, mais aussi, et surtout, de...pipes en tous genres, à savoir un certain...Bill Clinton. Le " subprime " est en fait un crédit à risque. Le taux est donc bien plus élevé que pour pour un crédit classique. Il s' adresse en effet à des ménages modestes. Il faut en effet savoir, d' un point de vue théorique tout du moins, qu' un crédit octroyé à un " prolo " est bien plus rénumérateur pour le prêteur, que celui à destination d' un " riche ". Il y avait donc un max de dollars à se faire. La bonne affaire ! Le taux plus élevé, se justifie donc par le fait que le risque que le " prolo " ne rembourse pas, est évidemment bien plus important que dans le cas d' un " riche ". On ne prêtait qu' aux riches, il fallait donc-enfin-prêter aux pauvres. Super belle affaire on vous dit. Les prêteurs allaient se gaver. Il n' y avait pas le moindre risque sur le papier.
Comme on l' a vu plus haut, ie risque était cependant bien plus important de prêter à un pauvre, plutôt qu' à un riche. Mais peu importe, si, dans le cas peu probable où le " prolo " ne parvenait plus à rembourser son crédit par la suite, il " suffisait " alors simplement de récupérer sa maison et de la revendre.
Dans la tête des prêteurs, et donc des démocrates américains, l' immobilier ne pouvait en effet que monter. Encore et encore. Il n' y avait donc pas le moindre risque. La moindre défaillance d' un emprunteur pouvait en effet être couverte par le prix de l' immobilier qui ne pouvait jamais cesser de croître dans le temps. C' est bien connu, dans le secteur immobilier comme en Bourse, les arbres montent forcément jusqu' au ciel. En 2007, trois millions de foyers américains ne parvenaient plus à rembourser leur crédit immobilier. Il y avait comme un malaise.
Ce délire du " subprime " est donc de la responsabiité des politiques du moment comme toujours, à savoir dans le cas du " subprime ", des démocrates américains. A noter que l' ex sauveur de l' humanité, à savoir le complexé SARKOZY, avait fait état des même délires durant sa campagne électorale. Heureusement, l' éclatement de la bulle immobilière aux USA, a eu raison de ses idées aussi fumeuses que ridicules.
Tous les politiques ne sont cependant pas à mettre dans le même panier; Un certain G.W BUSH, peut être bien critiquable à certains égards, avait pourtant tiré la sonnette d' alarme concernant ce bon gros délire du " subprime ". Il tenta en effet, dès 2004, de supprimer ce dispositif suicidaire, mais c' était sans compter sur les démocrates. BUSH dû en effet abandonner face à l' opposition démocrate au Congrès. On connait la suite...
