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15 septembre 2009 2 15 /09 /septembre /2009 10:14
Nouveau retour à la niche pour SARKOZY. En bon politique " démago " qui se respecte, le Président américain a taper du poing pour faire plaisir au bon peuple ( ? ) qui rame, en tentant donc de " moraliser " le capitalisme. De belles envolées lyriques ont donc logiquement été au rendez-vous de son discours d' hier, mais le " petit " SARKOZY et la " grosse " Angela ont du manger leur chapeau respectif en écoutant ses propos. En effet, si Obama a bien entendu dénoncer les abus du monde de la Finance, le discours était loin d' être incisif. En décodant quelquepeu, on peut même être rassuré par ses propos. Il a évidemment montré du doigt ceux qui n' ont toujours pas changer leur fusil d' épaule, mais  c' était bien le minimum qu' il pouvait produire en terme de service après-vente.

Bref, au final, il faut surtout retenir que le Président américain refuse de plafonner les rénumérations variables des acteurs de WALL STREET. Le pauvre SARKOBULL a encore du boulot. Obama n' étant pas du style à se faire influencer par un petit excité complexé. Obama a tenu à préciser clairement que ce sont toujours les USA qui continuent à faire la loi. Tout va bien donc...














































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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 17:47
La journée a donc été marquée par les prises de bénéfices des opérateurs. Mais c' est presque un retour à la normale ce soir à la cloche. Le CAC termine en effet presque dans le vert, prouvant donc au passage la motivation des acheteurs. Le mouvement reste donc haussier, et il n' y a donc rien à signaler de particulier.























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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 17:05

Dans la première ellipse du graphique ci-dessous, on peut voir le niveau d' entrée. Une fois la mm 12 franchie, il s' agissait d' aller cherche le croisement entre cette dernière et la mm 102. Il a eu lieu vers 16 h 50 environ. A cet instant, on peut donc considérer que ce sont les acheteurs qui ont la main sur le titre, et ce même si le titre évolue encore dans le rouge. Il ne faut en effet pas oublier, qu' en matière de Bourse, il faut anticiper. Observer ce qui se passe sur le moment est évidemment très important, mais le but final est d' essayer de voir ce qui va se passer par la suite. Dans le cas qui nous occupe, il s' agit donc d' anticiper un mouvement de rebond, ou même un retournement plus fragrant. Evidemment à ce stade, le mouvement reste encore fragile, et le maintien de la position en " overnight " non encore totalement dénué de risques. Ceci étant, en regardant du côté du marché de fond, on peut s' apercevoir que le marché est en train de " ramasser " actuellement. Autrement dit, le marché est positif sur la suite des évènements.
























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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 16:04
Petite séance pour l' indice parisien ce jour. Le CAC affiche en effet un repli qui s' estompe cependant avec le temps. L' indice de référence ne rend en effet plus que 0.85 % à l' heure actuelle, après avoir été en repli de plus d' 1.50 % en matinée. Rien de grave donc. En fait, les intervenants soldent tranquillement leurs positions respectives après les bonnes performances de la semaine dernière. A présent, les marchés vont être attentifs aux propos d' Obama qui doit s' exprimer ce soir ( heure française ) à propos des marchés financiers notamment, un an après la spectaculaire déroute de la banque LEHMAN BROTHERS.

A lire aussi : 15 septembre 2008 : le jour où le monde s' effondra !
























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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 10:56

C' était il y a un an, jour pour jour. La prestigieuse LEHMAN BROTHERS allait mourrir. En pleine crise financière, les autorités américaines ont décidé de signer l' arrêt de mort de la banque LEHMAN BROTHERS. Il fallait faire un exemple, et ce fût elle. Cela aurait pu être une autre. Mais il fallait bien en choisir une. Pas de chance. Il devenait impératif de signer la fin de la récréation afin d' éviter le pire. Un mal nécessaire en quelque sorte. Pourtant, personne ne pouvait penser une seule seconde que les autorités américaines se permettraient de lacher une banque, surtout lorsqu' elle se nomme LEHMAN BROTHERS.

Ainsi, le PDG, le fameux DICK FULD, ne se faisait pas trop de souci. Il était confiant. Certains diraient même arrogant. DICK FULD a en effet toujours eu la réputation d' être un requin pur et dur de la finance internationale. Il était craint. A la rentrée 2008, malgré la détoriation manifeste de son portefeuille de créances, la banque américaine ne s' inquiétait donc pas trop. Au pire, de toute façon, les autorités fédérales se porteraient à son secours. C' est une certitude. La certitude de DICK FULD. Mais rien ne se passera finalement comme prévu.

Mais revenons un peu en arrière. Nous sommes alors en mars 2008. La banque BEAR STEARNS est en situation de faillite. Tous ses clients sont partis " en courant ", et la banque américaine se fait donc " manger " toute crue par JP MORGAN chase. WALL STREET panique et se demande, à fort juste titre, qui sera le suivant. Le Secrétaire au Trésor, Henry Paulson, est très inquiet. Il sait que LEHMAN BROTHERS est alors dans une situation qui devient fragile, du fait de son endettement tout de même assez " copieux ". Il essaye alors de convaincre le PDG de LEHMAN BROTHERS de s' adosser à un établissement financier plus robuste. " Le GORILLE ", alias DICK FULD, ne veut cependant rien savoir. Sûr de lui, et écrasant tout sur son passage, d' où son surnom pour le moins " romantique ", le GORILLE n' a vraiment pas envie se faire " bouffer " par une de ses concurrentes donc il a " la haine ". DICK FULD dirige cette institution d' une main de maître depuis alors 16 ans, et n' a de leçons à recevoir de strictement personne. Tout le monde tremble en sa présence, et même ses plus proches collaborateurs n' osent jamais vraiment le contredire. Richard " DICK " FULD est alors considéré comme un DIEU à part entière. Cette banque qui avait alors plus de 150 ans, avait alors notamment fait exploser ses bénéfices entre 1994 et 2007. Durant cette période, les bénéfices sont en effet passés de 113 millions de dollars à pas moins de 4.2 milliards de ces mêmes billets verts. Le GORILLE a " le melon ". Tout le monde le sait, mais tant que les dollars pleuvent, personne n' y trouve finalement  à y redire. Mais pour obtenir de tels bénéfices, LEHMAN BROTHERS a utilisé à outrance l' effet de levier, surtout à partir de 2005. Son bilan bondit alors à 780 milliards de dollars, et son exposition aux créances hypothécaires dépasse désormais les 70 milliards.

Résultat : en juin 2008, le groupe bancaire publie une perte " copieuse " de 2.8 milliards de dollars. Les HEDGE FUNDS notamment, décide alors de se " payer " FULD, plus que la banque en elle-même. Le GORILLE s' est en effet fait tout un tas d' ennemi au fil de ses années de règne, et un nombre croissant d' investisseurs sont prêts à " se le faire " en n' hésitant donc pas à " tuer " LEHMAN BROTHERS en ouvrant les grosses vannes de la vente à découvert. Plus personne ne veut alors de LEHMAN BROTHERS. Le GORILLE a cependant un mal fou à l' admettre. Il en a vu d' autres. Il a toujours écrasé tout le monde autour de lui. Il se sent encore fort, même si le titre s' écroule un peu plus chaque jour.

Au cours de l' été 2008, le GORILLE n' a cependant plus le choix. il doit se résoudre à aller frapper à la porte de ses petits copains, qui pour l' essentiel sont en fait ses ennemis jurés depuis des lustres. Il frappe tout d' abord à la porte de BANK OF AMERICA qui l' envoie promener. GENERAL ELECTRIC lui fera le même accueil. Du côté d' HSBC ce n' est pas mieux. Le GORILLE ira donc même frapper aux portes des chinois et autres coréens... Mais plus personne ne veut de LEHMAN BROTHERS. Nous sommes alors en pleine crise, et personne n' a la moindre envie de se précipiter. Le GORILLE commence alors à avoir sérieusement la gueule de bois.

Le 2 septembre pourtant, la...coréenne KDB, qui pèse 138 milliards de dollars, dévoile son intérêt pour LEHMAN BROTHERS. L' espoir renaît donc, même si l' égo du GORILLE en a pris un sérieux coup, pour ne pas dire " coût ". A Séoul, le régulateur financier coréen calme cependant la joie de KDB en multipliant les avertissements. De son côté, le GORILLE, commence à " virer " son personnel. Une première charrette de 1200 personnes, soit 5 % des effectifs, est prévue. FULD, ardent défenseur pur et dur du capitalisme, pense alors qu' une...NATIONALISATION serait alors une bonne chose. On croit rêver. La réserve fédérale américaines ne l' abandonnera jamais. FULD en est convaincu au plus haut point. Il a en effet pas mal de petits copains à la FED de NEW-YORK, tout simplement car il y occupe un...siège. Aucun problème donc, même dans le pire des cas.

7 septembre. C' est la panique un peu partout. Les spécialistes du crédit hypothécaire, FREDDIE MAC et FANNIE MAE sont mises sous tutelle publique des autorités. FULD est rassuré. L' Etat éponge en effet une dette cumulée des deux groupes de 14 milliards de dollars. Le marché " redégueule " le lendemain, et LEHMAN BROTHERS, attaqué de toutes parts parts les HEDGE FUNDS notamment, décroche de pas moins de...45 % le 8 septembre. Le lendemain, JP MORGAN chase ne veut plus prêter d' argent à LEHMAN BROTHERS. Le groupe bancaire lui demande en effet des garanties que LEHMAN BROTHERS est incapable d' apporter bien évidemment. Plus personne ne veut alors prêter d' argent à la banque américaine, même pour ses simples frais de fonctionnement au jour le jour. DICK FULD est en panique et maudit les vendeurs à découvert donc il promet d' avoir la peau.

Le 10 septembre, Le GORILLE qui n' est désormais plus que l' ombre de lui-même, tente de sauver les meubles en tentant de rassurer par le biais d' une conférence téléphonique au cours de laquelle il fait état d' une perte trimestrielle " estimée " de 3.9 milliards de dollars. La pire de l' histoire de la banque. KDB prend peur et annonce son renoncement. FULD refuse pourtant toujours sa défaite cuisante.

11 septembre. Commémoration des victimes du 11 septembre 2001. FULD n' en a que faire. Il veut sauver LEHMAN BROTHERS et surtout sa peau en fait. Il demande alors au Président de la FED de NEW-YORK, qu' il vient de le virer de son conseil, d' ouvrir à LEHMAN la facitlité de crédit réservée d' ordinaire aux " BROKERS DEALERS ". Ce dernier lui répond NON. FULD ne sait vraiment plus quoi faire, et tente à nouveau une approche en direction de BANK OF AMERICA ou la BARCLAYS qui ont manisfestement d' autres chats à fouetter au moment où tout " dégueule " sur les marchés financiers. GOLDMAN SACHS passe alors de " neutre " à vendre ". Le titre va alors de nouveau " dégueuler " de...42 % !

Le 12 septembre, veille du week-end, le titre ne vaut alors plus que 3.65 dollars. Le président de la FED, actuel secretaire au Trésor de l' administration OBAMA, demande alors aux grosses banques américaines d' investir dans une société indépendante afin d' y transférer les milliards de dollars de créances toxiques de LEHMAN BROTHERS. Le futur secrétaire au Trésor craint effectivement un effet " domino " si LEHMAN BROTHERS venait vraiment à tomber. Mais les banquiers, qui s' ils sont bien conscients de l' effet " domino " ne sont tout de même pas particulièrement enchantés à l' idée de " reprendre " les créances " merdiques " du " subprime ". FULD, toujours en panique, ouvre tous ses comptes à la BARCLAYS et à BANK OF AMERICA en espérant les convaincre.

Le samedi 13 septembre, la situation est au point mort. Les banques convoquées par la FED n' ont pas la moindre envie de reprendre les créances " merdeuses " pendant que de l' autre côté, BANK OF AMERICA ou BARCLAYS reprendraient les éléments positifs de LEHMAN BROTHERS, ce que l' on peut évidemment comprendre aisément. En " off ", les autorités préviennent cependant les PDG de BANK OF AMERICA. En cas de reprise de LEHMAN, aucune garantie fédérale ne serait accordée. De son côté, le PDG de MERRIL LINCH en profite pour négocier en rapprochement avec BANK OF AMERICA. Ce " deal " profitera même d' une aide...publique.

14 septembre. Nous sommes dimanche. FULD est épuisé. Il ne dort plus depuis des semaines et ne rentre même plus chez lui. Il a désormais élu domicile à son bureau, pendu au téléphone avec le monde entier pour essayer de retrouver un reprenneur. BARCLAYS propose désormais 5 dollars par action, mais à la condition qu' un syndicat de banques reprennent 60 milliards de dollars d' actifs toxiques. En ce dimanche matin, les équipes de LEHMAN BROTHERS affiche leur soulagement, mais cela ne durera hélas pas. A 11h30, heure de NEW-YORK, le régulateur britannique, le FSA, interdit à BARCLAYS, donc la captitalisation est jugée insuffisante, de reprendre la banque américaine. Cette fois c' est la FIN.

FULD pète alors les plombs. Il croit cependant encore à une providentielle volte-face des autorités américaines. Le téléphone sonne. Le secrétaire au Trésor du moment, PAULSON, refuse d' annoncer à FULD la mauvaise nouvelle. Le " courageux " demande à un de ses collaborateurs de signifier à FULD que cette fois tout est fini. FULD doit déposer le bilan. Les autorités l' exigent à présent.

15 SEPTEMBRE 2008

A deux heures du matin, FULD a déposé le bilan de LEHMAN BROTHERS devant un tribunal new-yorkais comme l' avait exigé PAULSON. Ce dernier pense qu' il n' avait pas le choix pour sauver le système américain, et qu' il fallait absolument siffler la fin de la récréation. C' est tombé sur LEHMAN BROTHERS. C' est ainsi. Comme quand une band de gamins jouent dans la cour de l' école et fini par casser une vitre, ce n' est pas forcément l' auteur direct qui est puni.

Les marchés dégueulent. C' est la stupéfaction la plus totale. La panique. Au siège de la banque américaine, tout le personnel est complètement sous le choc. A Times Square, sur les écrans géants, tout le monde peut voir défiler les salariés de la banque en train de déserter la banques avec leurs  cartons respectifs. L' onde choc se propage dans le monde entier, et les images défilent sur toutes les télévisions du monde. On avait plus vu cela depuis les attentats du 11 septembre 2001. Cette fois, c' est sûr, c' est la fin du monde.

EPILOGUE

Le 16 septembre, les équipes de BARCLAYS CAPITAL sont déjà là. Elles vont reprendre les activités américaines de la banque new-yorkaise. Sur la 7 ième avenue, DICK FULD, dont la sécurité a été renforcée suite à plusieurs menaces de mort, laisse le soin à ses collaborateurs de les acceuillir. L' ex-GORILLE n' a jamais été autant isolé même si ses plus fidèles collaborateurs sont encore là.

Il déclare alors dans un mémo interne diffusé à 22 heures : " Je sais que tout cela a été douloureux pour vous, tant d' un point de vue financier que personnel. L' action ne vaut aujourd' hui plus rien, et pour cela je me sens horriblement mal ". Les employés détenaient en effet 30 % de la banque, et beaucoup sont aujourd' hui ruinés, sans parler de la retraite qu' ils n' auront jamais.

3 semaines après la journée la plus pourrie de l' histoire de l' humanité, selon les propres terme de FULD, ce dernier, sommé de s' expliquer sur la défaillance de LEHMAN BROTHERS qu' il diriga pendant 16 ans, déclarera : " Je dors peu, chaque nuit je me réveille en me demandant " comment aurais-je pu agir autrement ? ".

FULD a beau se refaire le film dans tous les sens, il ne comprend toujours pas pourquoi les autorités américaines l' ont lachée.

Ci-dessous, FULD, dit " LE GORILLE ", victime de son EGO démeusuré.






























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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 19:35
La bancaire BNP-PARIBAS évolue actuellement en contre tendance. Alors qu' elle s' était plutôt assez bien affranchie de la crise en sauvant les meubles à plusieurs reprises, voici qu' elle traîne la " patte " depuis plusieurs séances. Après avoir cassé à la baisse sa mm 20 le premier septembre dernier, elle n' est toujours pas parvenue à se ressaisir et ce alors que le marché de fond était plutôt bien orienté. Dans l' absolu ce n' est pas bien grave, d' autant que cette stagnation n' est pas particulière à BNP-PARIBAS mais également à ses " petites copines " telle SOCIETE GENERALE qui affiche le même type de configuration.























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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 17:51


Ouverture : 31 juillet 2009
Composition : 100 % CAC 40
Nombre de lignes : 11 / 40 théoriques
Liquidités : 78 %
Levier : 1/Comptant
Sens : Long
Durée : LT/Indéterminée
Rapport : hebdomadaire

Rendement actuel sur capital investi : 2.88 %
Rendement actuel sur capital disponible : 0.61 %






















Observations : Le titre BNP-PARIBAS n' est pas sans poser quelques problèmes. La ligne affiche en effet un repli supérieur à 5 %.La liquidation n' est cepedant pas à l' ordre du jour.

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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 13:28

Sur le graphique du titre SAINT GOBAIN, on peut voir l' évolution de ce dernier par rapport aux moyennes mobiles 12 et 102 " intradays ". Entre 12 h 25 hier, et 9 h 05 ce matin, c' est à dire lors des phases de croisements des mm 12 et 102, le titre est resté coinçé. Ce matin, lorsque la 12 est parvenu à repasser au dessus de la 102, le titre a de nouveau progressé comme vous pouvez le voir clairement. Ceux qui ne s' étaient pas positionnés au plus bas, pouvaient donc se replacer ce matin, tout comme ceux qui avaient débouclé trop tôt hier.

























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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 11:57
Il fallait patienter.

Dans l' ellipse 1 on peut voir la résistance de la séance d' hier, qui représentait également un premier signal de débouclage.

Par la suite, dans l' ellipse 2, on peut voir le point de débouclage effectif.

Ensuite, le titre stagne ( ellipse 3 ). C' est là qu' il fallait patienter, d' autant que le marge de manoeuvre était plus que confortable par rapport au point d' entrée situé à 29.13 euros.

Et ce matin, le titre repart donc à la hausse comme vous pouvez le voir dans l' ellipse 4. Force est donc de constater que le débouclage a été trop précoce. Il y avait encore du potentiel.

A lire aussi : Trading sur SAINT GOBAIN

Trading sur SAINT GOBAIN : débouclage
























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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 10:34
Cette valeur américaine est particulièrement spéculative. Jusqu' au nouveau franchissement à la hausse de sa mm 20 le 2 septembre dernier, elle se trouvait dans une spirale infernale. Cela faisait en effet plus de 2 mois que le titre évoluait sous sa mm 20. Le support pertinent du moment se trouvait à hauteur du 15.46 et le 25 août dernier un point bas a probablement été trouvé. Ceci étant, le caractère spéculatif de la valeur incitait à attendre que le titre casse sa mm 20 comme évoqué plus haut.























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