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11 mai 2010 2 11 /05 /mai /2010 18:35

Comme souligné ce matin, il était normal qu' un retracement soit effectif ce jour après l' envolée explosive d' hier. Le CAC a donc retracé à des niveaux qui sont cependant restés fort acceptables avant de terminer sur un léger repli d' à peine 0.73 % ce soir. Tous les voyants restent donc vert et le CAC est donc déjà prêt à repatir comme on peut notamment le voir sur le graphique en données 5 mns ci-dessous. On peut en effet remarquer que le cours de l' indice se trouve ce soir au dessus des mm 12 et 102 " intraday " qui traduit donc une approche psychologique positive des intervenants sur un intervalle horaire et journalier.

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11 mai 2010 2 11 /05 /mai /2010 09:31

Après la superbe envolée du CAC hier, il est normal, et même assez sain pour tout dire, que l' indice reprenne un peu son souffle en ce mardi. L' indice de référence rend un peu plus de 1.60 % à un peu plus de 3650 pts une demi-heure après l' ouverture. Il n' y a donc rien à signaler de particulier.

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 20:18

Après plusieurs séances éprouvantes, le CAC, comme l' ensemble des marchés d' ailleurs, s' est offert une séance pour le moins exeptionnelle. Le CAC est parvenu à repasser au dessus des 3700 pts en flambant de près de 10 % ! Voilà qui devraient donc réjouir les politiques en grosse panique la semaine dernière. Il s' agissait de sauver l' euro, en s' attaquant donc au fantasme de la spéculation. Avec un gain de 9.66 %, le CAC a donc repris 328 pts par rapport au cours de clôture de vendredi dernier qui laissait penser au pire. Il n' était alors en effet pas exclu d' aller chercher les 3000 pts. Le pire est donc derrière nous, au niveau des marchés financier s' entend, mais le problème reste finalement entier au niveau réel. Mais il fallait absolument " rassurer " les investisseurs, en essayant de décourager les spéculateurs, même si certains politiques n' ont finalement pas vraiment compris que c' était bien souvent les mêmes... Enfin bref, tout va pour le mieux. Les banques, de nouveau " attaquées " par la problèmatique grecque, ont bien entendu été les premières à se retourner de manière époustouflante. SOCIETE GENERALE prend près de 24 % pendant que ses " petites copines " s' offrent également toutes des progressions à deux chiffres autour des 20 %. Le reste des valeurs n' est cependant pas à la traîne non plus, puisque toutes les valeurs ont bien entendu fini dans le vert.

 

Outre les décisions prises par les politiques européens, il y a évidemment une raison technique à une telle progression. Beaucoup de " spéculateurs " en position courte, se sont en effet retrouvés en " short " ( c' est le cas de le dire ) ce matin. Ils ont dû donc déboucler dans la hâte leur(s) position(s) respective(s) de vente à découvert, en accélérant d' autant plus le mouvement de rebond. Les vendeurs à découvert sont effet devenus des acheteurs bien malgré eux. Il n' y avait donc plus que des acheteurs aujourd' hui, d' où la spectaculaire envolée des Bourses.

 

La remontée est d' autant plus exeptionnel, qu' il est vrai que les " spéculateurs " s' étaient plutôt bien éclatés la semaine dernière. En pareille circonstance, il en effet de " bon ton " ( pour un spéculateur s' entend ) de charger la mûle à outrance pour mieux qu' elle finisse par tomber. Le mouvement de spirale était alors en route, en faisant donc paniquer les investisseurs à plus long terme, qui avaient donc fini par vendre de peur que le marché " dégueule " de nouveau encore et encore. On ne sait en effet jamais quand une baisse s' arrête vraiment. Quand la luge est lancée en pleine descente, rien ne peut en effet l' arrêter.

 

Evidemment dans le sens de la montée, on ne parle jamais vraiment de spéculation, mais de retour de la confiance des marchés. Pourtant, le mouvement du jour, est aussi spéculatif, voir même bien plus en fait, que ce qui s' est passé la semaine dernière, sans compter que ce sont souvent les mêmes qui sont intervenus, un coup à la baisse, un coup à la hausse.

 

Certains de ceux qui avaient " jouer " la baisse la semaine dernière, ont cependant dû, pour les moins aguerris d' entre eux tout du moins, y laisser quelques plumes, dans le sens où il était quand même difficile de prévoir un tel rebond, même si la réunion des politiques de la zone euro ne pouvait finalement que déboucher sur quelquechose de concret. Il y avait en effet le feu dans la maison, et il fallait donc ( enfin ) intervenir. Les " pompiers " sont donc de nouveau là, mais les dégâts sont bien évidemment là, et qu' il va donc falloir reconstruire la maison détruit par les flammes.

 

A l' heure actuelle, il ne s' agit donc encore qu' un ENORME rebond technique, et il n' est pas dit à 100 % que ce soit les prémices d' un retournement vraiment effectif, tout du moins au cours des jours prochains. Il n' est donc pas à exclure que cela " doigte " finalement encore quelquepeu lors des prochaines séances. Il faudra donc surveiller tout cela de près.

 

Il ne faut en effet pas oublier que cette belle envolée a surtout satisfait les spéculateurs aujourd' hui. Les investisseurs qui ont débarqué la semaine dernière restent bien échaudés, et attendront donc avant de revenir. Par contre, il est vrai, que la forte hausse du jour va attirer de nouveaux acheteurs. Le retournement pourra donc alors être effectif s ils sont suffisamment nombreux, et si les " spéculateurs " ( qui sont toujours là ) ne jouent pas trop les trouble-fête en " retapant " du " short ", notamment du côté de l' Euro. Il n' est en effet pas sûr que les intéressés aient en effet dit leur dernier mot en la matière... A suivre donc...

 

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 12:17

Pour faire fructifier son capital, il est absolument nécessaire d' adopter des règles finalement assez simples. Avant de tenter de faire fructifier son capital, il ne faut surtout pas oublier de le... PRESERVER ! Et ce n' est, surtout pour les débutants, pas toujours chose simple.

 

Prenons l' exemple d' un sujet qui dispose d' un capital de 25 000 euros.

 

Pour investir en Bourse, il a le choix entre plusieurs possibilités.

 

Il peut investir au COMPTANT, en SRD ou encore par le biais d' un produit dérivé relativement simple qu' est le CFD

 

COMPTANT

 

Au comptant, il est donc possible d' investir 100 % de son capital. Le montant de ce dernier n' étant en effet pas sujet à l' effet de levier, il n' y a donc pas de marge de manoeuvre à respecter.

 

L' investisseur pourra ainsi prendre position à hauteur de 25 000 euros de capital dans notre exemple.

 

Si un bout d' un mois, le total de ses positions dégage par exemple une performance de 10 %, il disposera alors d' un nouveau capital de 27 500 euros dans l' hypothèse où il solderait ces dernières.  25 000 X 10 % = 2500 + 25 000 = 27 500 euros.

 

Dans le cas contraire, c' est à dire en cas de contreperformance de 10 %, son nouveau capital sera alors de 22 500 euros. 25 000 X - 10 % = - 2500. 25 000 - 2500 = 22 500 euros.

 

Dans cette première configuration, les risques sont donc limités. L' intéressé peut certes avoir eu à essuyer des pertes, mais sans avoir été en difficulté proprement dite durant la période de son investissement.

 

SRD

 

Dans ce deuxième cas, on va voir que les choses commencent à se compliquer quelquepeu. Dans ce cas, l' investisseur va en effet faire appel à l' effet de levier. Il s' agit d' investir un certain montant, sans devoir le financer à 100 %. C' est le broker qui financera votre investissement, moyennant un taux intéressant.

 

D' ordinaire, le levier habituel du SRD est de 3. C' est à dire, que si vous disposez d' un capital de 25 000 euros, vous pouvez avoir à votre disposition un capital trois fois supérieur de 75 000 euros. 25 000 X levier 3 = 75 000 euros.

 

En théorie, vous pouvez donc prendre une ( ou des ) positions jusqu' à 75 000 euros. Mais en fait, il va falloir appel au money management pour assurer vos arrières.

 

Contrairement à l' investissement au comptant, il ne vous en effet pas possible de prendre position à hauteur de 100 % du montant disponible, pour la simple et bonne raison que le cours d' un sous-jacent fluctue en permanence, et pas forcément dans le sens espéré.

 

Vous prenez par exemple une position sur un titre X à hauteur de 20 euros. Disposant d' un capital de 75 000 euros, vous pouvez donc prendre 3750 pièces.

 

3750 X 20 = 75 000 euros ( 100 % du capital )

 

Hélas pour vous, peu après votre achat, le titre décroche de 3 %.

 

Le titre X ne côte alors plus que 19.40 ( 20 X 97 % )

 

3750 X 19.40 = 72 750 euros

 

Vous avez donc déjà essuyé une perte théorique de 2250 euros.

 

Perte qu' il faut évidemment soustraire à votre capital de départ de 25 000 euros, soit un nouveau capital de 22 750

 

A ce stade, en partant sur la base théorique de l' effet de levier de 3, vous ne disposez alors plus que de 68 250 au lieu des 75 000 euros initial.

 

Inutile de vous préciser que votre broker aura tôt fait de solder votre position ( dans le meilleur des cas cependant ) qui vous fera donc perdre 2250 sans intervention de votre part.

 

Il est donc nécessaire de laisser une marge de manoeuvre plus ou moins importante.

 

Si vous êtes expérimenté vous pouvez aller jusqu' à 75 % du montant disponible.

 

Mais dans la réalité, il est fortement recommandé de ne pas avoir une exposition supérieure à 50 % de vos disponibilités

 

Ainsi, pour un capital de 25 000 euros en SRD 3, soit 75 000 euros, vos positions ne devront pas excédées par 37 500 euros. 75 000 X 50 % = 37 500 euros

 

Pour reprendre notre exemple sur la valeur X avec un cours d' achat à 20 euros, vous aurez 1875 pièces.

 

Quelque minutes plus tard, comme dans notre précédent cas, la valeur décroche de 3 % en se retrouvant donc à 19.40

 

1875 X 19.40 = 36 375 euros

 

A cet instant là, votre moins-value potentielle est donc de 1125 euros ( 37 500 - 36 375 )

 

Vos disponibilités théoriques sont donc à cet instant là de 71 625 euros au lieu des 75 000 initiaux ( 25 000 - 1150 X 3 )

 

Votre exposition est alors de 52.35 % au lieu de 50 % au départ ( 37 500 ( position de départ ) / montant théorique disponible de 71 625 euros.

 

On voit donc que la marge de manoeuvre reste encore très confortable.

 

Poussons cependant le raisonnement encore plus loin, en imaginant ( que comme vendredi dernier par exemple ), le titre X en question décroche non pas de 3 %, mais de 11 % par exemple.

 

1875 X 17.80 ( 20 X 89 % ) = 33 375 euros.

 

La moins-value potentielle est à ce moment là à hauteur de 4125 euros ( 37 500 - 33 375 )

 

Vos disponibilités sont alors de 62 625 euros au lieu de 75 000 au départ.

 

Votre exposition est alors de 59.88 % au lieu des 50 % initiaux.

 

Dans ce cas, on a donc encore de la marge, même si la perte potentiel de 11 % est déjà en fait innaceptable avec l' utilisation d' un levier.

 

A ce stade, il ne faut en effet pas oublier, que le CAPITAL initial a déjà été " mangé " de 16.5 %. C' est évidemment beaucoup TROP.

 

Prenons à présent l' exemple d' une exposition à hauteur de 75 % au lieu de 50, et dans les même conditions de décrochagage du titre X, soit 11 %.

 

La position ouverte n' est donc plus de 37 500 euros, mais de 56 250 euros ( 75 000 X 75 % )

 

en admettant un repli de 11 %, voilà ce que cela donne :

 

2812 pièces à 17.80 = 50 053.60 euros

 

La perte potentiel s' élève donc à 6196.40 euros.

 

25 000 ( K ) - 6196.40 = 18 803.40

 

vos nouvelles disponibilités sont alors de 56 410.20 euros.

 

Votre exposition est alors de 99.71 % au lieu de 75 % au départ.

 

La marge est désormais quasiment réduite à néant.

 

Admettons cependant que vous pariez de nouveau à une hausse du titre X le lendemain, et que vous restez donc en " overnight " avec votre marge réduite quasiment à néant.

 

Hélas, le lendemain, le titre ouvre en baisse de 2 %

 

2812 pièces à 17.40 = 48 928.80 euros de valorisation donc

 

perte potentiel = 7321.20 euros.

 

Nouvelle disponibilité : 25 000 - 7321.20 = 17 678.80 X 3 = 53 036.40

 

L' exposition est donc à présent de plus de 106 %

 

A ce stade, votre broker ne vous suit évidemment plus, et vous demande de solder votre position, ou d' effectuer un apport.

 

A noter qu' à ce stade, le capital a été amputé de plus de 29 %

 

Le nouveau capital sera donc de 25 000 - 7321.20 = 17 678.80 euros

 

pour effacer cette moins-value au comptant, il faudra réaliser une performance de plus de 41 %.

 

En SRD, la disponibilité sera désormais de 53 036.40 euros comme on l' a vu un peu plus haut.

 

En s' exposant à hauteur de 50 %, soit 26 518.20 euros, il faudra alors une performance de plus de 27 % pour retomber sur ses pattes, et ayant bien entendu quasiment plus droit à la moindre erreur.

 

L' effet de levier est donc a manipuler avec beaucoup de précautions, et en ne s' exposant pas à plus de 50 %.

 

A SUIVRE le money management sur CFD notamment.

 

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 23:14

Un véritable vent de panique s' est abbatu ce jeudi sur WALL SREET. Un nouveau jeudi noir qui restera en mémoire. Le DJi a en effet rendu pas moins de 3.20 % à la cloche, pendant que le NASDAQ reculait également de 3.44 % dans une ambiance de fin du monde dans les deux  cas. Avant de terminer à ces scores, le DJI a notamment perdu plus de 8 % en rendant plus de... 1000 pts par rapport au cours de la veille ! A un instant, tout le monde voulait vendre à tout prix ! Un véritable massacre à la tronçonneuse avant que le marché parvienne à se reprendre mais en terminant quand même en très forte baisse. Le NASDAQ, comme la Bourse de Paris d' ailleurs, aurait connu certains problèmes techniques qui n' auraient évidemment pas arrangé les choses.

 

WALL STREET qui s' était plutôt fait fi des problèmes grecs ces derniers temps, semble rattrapper de plein fouet par la crise grec. Le Portugal, l' Espagne, et même désormais l' Italie pointent à présent la bout de leur nez, et le moins que l' on puisse dire est que les marchés n' apprécient pas du tout.

 

En période de panique, les bonnes nouvelles passent évidemment à la trappe, tandis que les mauvaises sont amplifiées à outrance. Il y avait pourtant d' assez bonnes nouvelles sur le front américain. Les chiffres de la productivité étant en effet appréciables, tandis que ceux du chômage étant également d' assez bon augure. Mais cela n' a évidemment pas suffit à inverser la très forte pression vendeuse des marchés.

 

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Il y avait aussi de quoi frémir du côté de Freddie Mac. Le numéro deux américain du refinancement de crédits hypothécaires qui défraya déjà la chronique à plusieurs reprises, a perdu pas moins de 8 milliards de dollars au premier trimestre, et demande donc une aide fédérale supplémentaire de plus de 10 milliards afin de tenter de faire face à la fragilité toujours persistante de l' immobilier américain.

 

Bref, force est de constater que le ver est toujours bel et bien dans le fruit. L' intervention tardive de l' Europe à l' endroit de la Grèce n' a évidemment pas rassuré son " petit " monde, d' autant que les hedge funds n' ont pas hésité à ouvrir les " grosses " vannes en " tuant " notamment l' euro.

 

Une chose est sûre : la vieille Europe devient de moins en moins crédible aux yeux des USA. Tous les spéculateurs du monde entier veulent à présent se " payer " l' Europe. Et force est de constater qu' il y arrive plutôt fort bien depuis maintenant plusieurs séances. L' Europe, déjà en petite forme, n' en sortira pas indemme, c' est désormais une certitude qui n' a pas échappé aux marchés du monde entier.

 

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 15:57

Il devait changer le monde, ou tout du moins la France. Fort de sa paire de talonnettes flambant neuve, il avait fêté sa première victoire aux présidentielles en catimini. C' était il y a trois ans. Au Fouquet' s, avec toute une bande de copains comme cochon triés sur le volet. A peine élu, SARKOZY s' engouffrait donc déjà dans une belle bulle, dont il n' est jamais sortit depuis. Méprisant le peuple le soir même de son élection, SARKOZY fixait déjà les régles, toujours en vigueur à ce jour : ce sera " les copains d' abord ". Uniquement. Les autres n' auront servi qu' à l' assoir à l' Elysée. Un rêve absolu depuis toujours. SARKOZY, qui n' a peur de rien, et qui ose tout, ne s' en tiendra évidemment pas à cette première fausse note de la fameuse soirée du Fouquet' s. Quelques jours plus tard, il défraiera la chronique en jouant les milliardaires décomplexés sur le yacht d' un de ses petits copains comme cochon, un certain Bolloré. Face à ce deuxième faux pas en seulement quelques jours, les médias, mais aussi la gauche évidemment, lui tomberont dessus. Ses " fans ", qui ne savaient pas encore qu' ils le détesteraient quelques mois plus tard, y virent une façon de tourner la page définitivement par rapport à ses prédecesseurs. C' était sûr, ce ne serait plus jamais comme avant. A cette époque, on ne croyait pas encore si bien dire...

 

SARKOZY continuera encore de mentir, comme il l' avait fait lors de sa campagne, et comme il l' a toujours fait. Le premier gros mensonge juste après son élection, restera celui concernant sa vie de... couple. L' histoire était déjà finie avec Cécilia, mais il fallait encore faire bonne figure pour la séance photos comme on dit. Là aussi, la page était tournée. SARKOZY jouait les romantiques à l' endroit de Cécilia qui avait déjà terminé son contrat depuis belle lurette. Ce qui était donc prévu, arriva donc immédiatement. Cécilia n' attendra pas pour faire ses bagages.

 

Un président de la République seul c' etait évidemment impensable. Il fallait donc faire vite. Très vite. Heureusement, Jacques Séguela, publicitaire de son état, était déjà prêt. CARLA était encore dans le paquet. Ne restait plus qu' à le faire déballer par SARKOZY. Du cousu main. Un peu trop d' ailleurs. Mais bon, l' essentiel était fait. Un échange de bons procédés en somme. CARLA entrerait ainsi dans l' histoire, et SARKOZY n' aurait plus à passer ses dimanche après-midi sur MEETIC. CARLITA montera cependant rapidement à la tête du petit nain de jardin de l' Elysée. Il se prendra en effet rapidement pour... Kennedy. Rien que cela !. Le pauvre concerné à dû se retourner dans sa tombe. Quoi de mieux d' être assimilé à Kennedy en effet. Tombeur de ses dames, et populaire. Très populaire. Mais tout le contraire de SARKOZY en somme.

 

SARKOZY n' a en effet jamais été populaire. Il l' a pourtant cru à un moment. Puis il a même essayé de l' être, pour se rendre enfin compte qu' il ne l' était pas du tout, et qu' il ne le serait jamais. SARKOZY, contrairement à ses belles paroles, n' a en effet jamais été le président de tous les français. C' est même tout le contraire. En fait, personne ne l' aime. Ses " fans " de la première heure le détestent même aujourd' hui. Pire qu' être impopulaire, SARKOZY n' est pas respecté. Personne ne le respecte. Cela avait déjà commencé par un pêcheur qui l' avait traité " d' enculé ". Une première historique qui restera dans les annales sans mauvais jeu de mots. Par la suite, un brave français avait tout simplement refusé de lui serrer la main au salon de l' agriculture. L' intéressé en prendra pour son grade en se faisant traiter de " pov' con ! ". Là aussi une première. Résultat : SARKOZY n' ose plus sortir sans un bataillon de CRS et sans que tout soit partaitement cadré à l' avance lorsqu' il arrive en " ville ". Au plus bas dans les sondages, il essayera il y a quelques semaines de se jeter à nouveau dans la foule en se disant que le bon peuple serait peut être plus sympathique à son endroit. Peine perdue une fois de plus. Un jeune individu s' essuyera la main après avoir serré la paluche du monarque. Nouvelle déconvenue. SARKOZY commence donc à se faire une raison. Personne ne l' aime. C' est ainsI .Pendant ce temps, son ennemi préféré, CHIRAC, bat des records de popularité. Que le monde est injuste décidemment.

 

Ces demeurés de français préfèrent donc un roi fainéant. Oui, c' est la triste réalité. Peut être tout simplement, car le costume de président allait très bien à CHIRAC, et que même en étant fainéant, il n' a finalement pas été moins efficace que celui qui pédale dans la semoule depuis maintenant trois ans. SARKOZY n' a jamais été à l' aise dans le costume de président de la République. Peut être trop grand pour lui, à moins que ce ne soit lui qui soit trop petit...

 

Personne ne respecte SARKOZY, et pour un président de la république, le moins que l' on puisse évidemment dire c' est que c' est plutôt embarassant. C' est ainsi, et ce n' est pas évidemment pas son style qui arrangera les choses, bien au contraire.

 

SARKOZY, qui ne doute jamais de rien, est cependant plutôt satisfait des trois ans passés à la tête du pays. Les français le détestent juste un peu plus chaque jour, le chômage réel frôle juste les 10 %, l' endettement n' a jamais été aussi conséquent, et la croissance n' accrochera même pas les 1 %, mais à part ça tout va bien.

 

En fait c' est la faute à la crise. Sauf que la crise date finalement d' avant son élection, il faut bien en convenir. Mais SARKOZY ne l' avait même pas vu arriver, c' est dire son niveau. Par la suite, il commencera par la nier, puis la minimiser, pour enfin faire le fanfaron une fois le pire passé, en osant dire haut et fort que la France s' en était bien mieux sortie que les autres pays. SARKOZY qui ne doute de rien, ira même donner des leçons aux pays anglo-saxons. Pour la petite histoire, les USA termineront probablement l' année à 3 % de croissance, quand la France aura du mal à atteindre les 1 %. Mais ce n' est pas bien grave, l' essentiel c' est d' y croire, et surtout de le faire croire à ce peuple de demeurés que SARKOZY déteste par dessus tout.

 

SARKOZY n' aime effectivement pas les gens. Il déteste le peuple, qui lui rend de mieux en mieux cela dit. Il n' aime que ses petits copains comme cochon susceptibles de lui apporter quelquechose le moment venu. SARKOZY a toujours fonctionné comme cela. Seul son intérêt compte au final.

 

SARKOZY ne sert pas la France. Il se sert lui même. Il est uniquement là pour flatter son petit égo d' enfant complexé. S' il se représente en 2012, ce sera pour se servir lui-même une fois de plus. Il s' agit d' un défi à relever, même s' il a désormais intérêt à se retirer au sommet de sa ( pseudo ) gloire. La porte de sortie est en effet grande ouverte, et il a donc toutes les raisons de se prendre une belle gamelle en 2012 s' il n' avait pas la sagesse de renoncer à se présenter.

 

SARKOZY est désormais foutu, et il le sait bien. Seulement, cela fait mal à son égo. Lui qui se voulait le maître du monde, detesté à ce point, ce n' est pas Dieu possible. Il doit bien y avoir encore des gens qui l' aiment non ? Franchement, à part quelques demeurés neuilléens de l' UMP, on ne voit vraiment pas trop... SARKOZY agace même dans son propre camp. En fait ce n' est pas vraiment nouveau. Seulement là, les langues ne tiennent plus.

 

Bref, celui qui devait changer le monde, n' aura finalement pas fait grand chose à part brasser de l' air, encore et encore. La France est toujours en panne de croissance, et ce ne sont pas les ennuis de l' Europe qui risquent d' arranger les choses, bien au contraire. SARKOZY ne veut pas changer une équipe qui... perd, et c' est bien là un de ses nombreux problèmes. Lui qui se disait le maître absolu de l' univers en ayant taillé des croupières à la gauche, et en croyant-fort naivement-avoir abbatu le FN est en train d' en avoir pour ses sous. Le stratège a donc du plomb dans l' aile, et à droite, encore plus qu' ailleurs, on le sait très bien.

 

De toute façon, il n' est jamais bien bon de laisser les mêmes aux manettes durant trop longtemps. En 2012, il faudra donc nécessairement virer à gauche toute. Cela ne pourra pas être bien pire de toute manière. Plus personne ne croit désormais en SARKOZY, et c' est d' ailleurs pour cela que les évadés fiscaux recommencent à fuir la France à nouveau à toute berzingue. Ils savent très bien que la gauche à de grandes chances de reprendre la main en 2012...

 

Quant à SARKOZY, il pourra de nouveau enfiler son costume d' avocat pour conseiller son monde à s' exiler dans les paradis fiscaux, comme il a sû si bien le faire il n' y a pas si longtemps que cela. Il aurait ainsi sa revanche en " bananant " efficacement la gauche. L' histoire n' est finalement qu' un éternel recommencement...

 

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 09:20

Les risques sont encore très importants, mais néanmoins il peut être judicieux de prendre une position longue sur le CAC 40. Ce dernier a en effet trouvé un support à hauteur du 3584 du 3 novembre dernier. Ce niveau correspond également à la zone de retournement de début février 2010. Il n' est donc pas impossible que le CAC parvienne valablement à se retourner dans cette zone, même si comme précisé plus haut, les risques sont encore conséquents. Il n' est en effet pas à exclure que le CAC finisse par décrocher au delà de ce support. A suivre...

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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 21:52

Etudions ce soir le cas du titre NATIXIS. D' un point de vue technique, la valeur offre en effet une belle configuration graphique. Nous verrons si elle se confirme demain, dans le cas contraire, on pourrait alors considérer que dans un marché particulièrement malmené l' analyse technique trouve ses limites.

 

Que signifie en effet la bougie en question ? On peut y voir notamment une longue tige sur le bas de la bougie, bien plus importante que le corps même de cette dernière. En clair, cela signifie que les acheteurs sont parvenus à faire reculer les vendeurs, même si sur le fond, d' un point de vue théorique cependant, ce sont encore bien eux qui ont la main ce soir comme le confirme le -2.71 % à la cloche.

 

En décortiquant dans le détail la bougie du jour, on peut donc s' apercevoir que les vendeurs ont " tué " le titre dès l' ouverture quasiment. Cette dernière se fait à hauteur du 3.65. Le plus haut à 3.68 montre cependant que les acheteurs ont pris un léger avantage peu après l' ouverture. Par la suite, les vendeurs mettent une énorme " raclée " à la valeur puisqu' elle va aller chercher un plus bas en séance à hauteur du 3.35. A ce niveau, les acheteurs parviennent à inverser la vapeur en faisant donc reculer les vendeurs jusqu' au niveau des 3.58 à la cloche. Les acheteurs ont donc réussi à reprendre pas moins de 23 cents, alors que les vendeurs n' ont finalement réussi qu' à prendre 7 cents entre le moment où ils ont eu la main, à savoir à l' ouverture, et au moment de la clôture.

 

On peut donc dire à ce stade, malgré le fait que le titre termine encore dans le rouge, que ce sont bien acheteurs qui ont la main ( sur la séance ) ce soir. Théoriquement, on devrait donc assister à une autre offensive des acheteurs demain. Offensive qui serait bien aidée par les " shorteurs " qui deviendraient acheteurs bien malgré eux en étant dans l' obligation de solder leurs positions de ventes à découvert ( qui restent accessibles même sur les bancaires par les " gros " ).

 

Mais entre la théorie et la pratique il y a parfois un fossé plus ou moins important, et la réponse sur le cas qui nous occupe nous sera donc donnée demain.

 

Comme on l' a donc vu, en regardant le graphique de ce soir, on peut tout dire que la configuration est favorable à un rebond, voir même à un retournement de situation. Il ne faut cependant pas oublier que l' on part de " loin ". Ce sont en effet bien les vendeurs qui ont la main sur le titre, mais aussi sur le marché de fond, depuis maintenant plusieurs longues séance.

 

Par conséquent, il n' est donc pas à exclure que malgré la bougie formée ce soir sur le titre NATIXIS, que les vendeurs parviennent de nouveau à prendre la main demain, en faisant donc reculer de nouveau les acheteurs.

 

Jouer " l' overnight " sur NATIXIS ce soir était donc particulièrement " gonflé " même pour ceux qui se sont placés parmi les premiers aujourd' hui.

 

Outre la bougie, certes favorable de NATIXIS, il fallait en effet regarder ce qu' il se passait sur le marché de fond, et là, force est de constater que la bougie du CAC est loin d' être terrible ce soir. Il valait donc mieux solder son " intraday " ce soir sur la valeur NATIXIS en attendant de voir si les acheteurs vont parvenir à faire " parler " la bougie d' aujourd' hui.

 

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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 21:22

Encore une séance très " travaillée ". Decidemment, les vendeurs ne sont toujours pas prêts à lâcher prise. Ce sont encore eux qui ont fait la loi aujourd' hui, même si à plusieurs reprises les acheteurs se sont donnés du mal. Le CAC perd donc encore près de 1.50 % ce soir, en se retrouvant donc à 3636 pts. Un plus bas a été trouvé en séance à 3613 pts, soit au niveau du support du 30 novembre dernier. La bougie formée ce soir n' est encore cependant pas de très bon augure.Il n' est donc pas à exclure que l' on aille plutôt chercher l' autre zone de supports située à hauteur des 3550 et correspondant à plusieurs périodes comme vous pouvez le voir sur le graphique " daily " ci-dessous. Et en ce qui concerne cette zone, autant dire qu' il va falloir qu' elle tienne, sans quoi cela risque de faire très mal.

 

Mais au fait, pourquoi ces grosses secousses encore  ? Après tout, le plan en faveur de la Grèce est désormais effectif, et tout devrait donc rentrer dans l' ordre à présent, d' autant que l' Espagne, sujette à de méchantes rumeurs pas plus tard qu' hier, a fortement démenti être dans une situation comparable à celle de la Grèce.

 

Rien n' est cependant simple en ce bas monde, et encore moins en ce qui concerne les marchés boursiers. De nombreux acteurs du marché, donc les " fameux " hedge funds ont bien évidemment pris de grosses positions " short " et ne comptent évidemment pas se laisser compter fleurette par des politiques démunis, tel un certain SARKOZY qui a encore tenté de faire les gros yeux à l' endroit des " méchants " spéculateurs sans le moindre effet bien entendu.

 

Les spéculateurs sont là pour faire de l' argent, et les interventions, fort naives il faut bien le dire, de certains politiques ne servent strictement à rien, et auraient même pour tout dire, à les exciter encore bien davantage. François Baroin, Ministre du Budget est d' ailleurs est des seuls politiques à l' avoir compris. Il a en effet évoqué le fait qu' il ne servait à rien de contrer les spéculateurs, qui étaient là pour...spéculer bien entendu. La moralité des spéculateurs n' est toujours pas négociable, et ne le sera jamais.

 

Ces derniers comptent donc bien allés jusqu' au bout des choses. La conjoncture est particulièrement défavorable, et il serait donc dommage de ne pas en profiter. Des marchés qui baissent, c' est l' assurance de se faire beaucoup de " dollars " ( c' est le cas de le dire ), dans un laps de temps très court de quelques séances. Tout le monde aura en effet constater qu' un marché " dégueule " beaucoup plus vite qu' il ne monte.

 

Les spéculateurs restent donc sur la " bête " en n' hésitant pas à rajouter de l' huile sur le feu, pour se " gaver " encore plus. C' est de bonne guerre. Autant faire " flipper " tout le monde en évoquant donc au passage les problèmes de l' Espagne, du portugal ou d' autres pays. Il ne manque en effet pas de pays endettés, pour ne pas dire surendettés au sein de la zone euro.

 

Il va donc falloir un certain temps avant que les choses se calment durablement. Actuellement cela reste une " foire " bien mieux organisée qu' on ne peut le croire d' ailleurs. Chaque jour les marchés en rajoutent donc une petite couche. La " panique " organisée des marchés est en effet très rénumératrice pour les initiés. D' autant que certains, et pas des moindres, se mettent à " flipper " sec, en vendant. Et quand il n' y a que des vendeurs, les marchés plongent bien évidemment.

 

Reste donc à se tenir prêt à recharger en " long " à tout moment. Quand le rebond sera en effet effectif, il y aura assurément des points significatifs à prendre. En attendant, WAIT and SEE...

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4 mai 2010 2 04 /05 /mai /2010 13:41

Les valeurs bancaires françaises décrochent significativement depuis quelques jours. En cause, la Grèce bien entendu. Le secteur reste bien entendu le thermomètre de l' économie. Les banques des pays comme la Grèce, le portugal, l' Espagne, ou encore l' Italie, " dégustent " logiquement depuis plusieurs mois. Le secteur bancaire français est en fait parmi les plus exposés. Les banques françaises ont par exemple prêté plus de 75 milliards d' euros, alors que l' Allemagne s' est contentée de 45 milliards dans le même temps.

 

CREDIT AGRICOLE est par exemple présent en Grèce, mais aussi au... Portugal à hauteur de près de 25 % du capital de Banco Espirito Santo, et également en... Espagne. On comprend alors mieux pourquoi le titre n' est pas à la fête depuis quelques semaines, sans compter que la banque verte est également impliquée en... Italie. La banque française n' a donc décidemment jouer que des " tocards ". BNP PARIBAS, plus forte que les autres banques françaises, reste également exposée dans les pays à risques tels que la Grèce ou encore l' Italie. Quant à SOCIETE GENERALE qui a toujours du mal à relever la tête, son exposition en Grèce est également effective à ce jour.

 

Les problèmes de la Grèce ne sont donc pas sans poser quelques problèmes aux établissements financiers français, même s' ils s' en défendent à l' heure actuelle. Aucune n' a évidemment souhaité clairement communiquer, même si CREDIT AGRICOLE chiffre son exposition à la dette grecque à hauteur de 850 millions d' euros.

 

Ceci étant, la vraie problèmatique se situe en fait au niveau de l' exposition de ces mêmes banques à l' endroit de... l' Espagne, qui comme vous le savez n' est pas à l' abri de subir le même sort que la Grèce. Et en ce qui la concerne, l' exposition des banques françaises est tout autre. Les banques françaises ont en effet prêté près de 220 milliards à l' Espagne ces dernières années, soit près de trois fois plus qu' à la Grèce en somme. De ce côté, l' Allemagne, bien moins exposée sur la Grèce, ne fait cependant pas mieux en affichant un chiffre encore supérieur à hauteur de près de 240 milliards d' euros.

 

Pour information, les banques américaines n' ont prêté qu' un peu plus de 50 milliards à l' Espagne et à peine plus de 16 à la Grèce.

 

La situation reste donc tendue au sein des banques françaises, même si elles ne restent pas toutes à la même enseigne. SOCIETE GENERALE reste encore fort problèmatique, tandis que CREDIT AGRICOLE peut malgré tout devenir intéressante, une fois la purge parvenue à son terme évidemment. BNP PARIBAS reste quant à elle la banque française la plus " solide " et par conséquent, il peut également être intéressant de s' y placer le moment venu, tout comme NATIXIS, qui pour information, n' est pas exposée sur les pays à risques.

 

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