TRADINGOFEL/ZONE-TRADING : Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le trading sans jamais avoir osé le demander

Le miracle n' a pas eu lieu. Le rebond technique tenté ce matin s' est soldé par un bel échec à la cloche. Le CAC abandonne en effet 2.23 % ce soir en propulsant l' indice de référence sous les 3700 pts, soit plus de 450 pts perdus par rapport au plus haut annuel. Le prochain support pertinent est à présent à hauteur des 3650 pts; et étant donné la situation actuelle au Japon ce n' est vraiment plus à exclure. Les dégagements ont en effet encore été très massifs en ce mercredi. A noter que la moyenne mobile depuis le début de l' année se situe à 4000 pts; tout comme la mm 20 d' ailleurs. Autant dire que les voyants sont donc dans le rouge. Inutile de préciser que la patience est encore de rigueur. Le " bruit " important généré actuellement ne permet en effet pas d' y voir clair. Ceux qui n' ont pas ouvert des positions vendeuses ont donc tout intérêt à rester " liquide ", les " soldes " ne faisant manifestement que commencer.

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L' indice japonais a donc abandonné plus de 10 % cette nuit. Cette chute vitigineuse faisait déjà suite à un repli de plus de 6 % la veille. La situation du moment est donc peu commune. Ce dernier se retrouve donc à à peine plus de 8600 pts alors qu' au plus haut du rebond de la crise financière il affichait un respectable 11340 pts en date du 5 avril 2010, soit il y a un peu moins d' un an. La panique s' est donc emparée du marché japonais qui n' avait, dans l' absolu, pas vraiment besoin de cela. En effet, même si le Japon reste une " grosse machine " écononique au niveau mondial, il ne faut tout de même pas oublier que la situation est problèmatique depuis maintenant plusieurs années. Pour rappel, quand cela allait mal pour le Japon, les dirigeants n' ont rien fait pour faire repartir la machine. Cette décision sera fatale pour le Japon. La croissance japonaise qui faisait déjà " la gueule " n' avait donc pas besoin d' une catastrophe d' une telle ampleur. La récession n' est donc pas à exclure. Le moral des japonais en a pris un sérieux coup sans le moindre doute, même si la culture japonaise ne laisse transparaitre en surface. Les politiques en place jouent en plus avec le feu en ne disant pas vraiment toute la vérité. Or les japonais détestent par dessus tout le mensonge. La vérité sur la situation nucléaire du japon a donc intérêt à sortir rapidement. Il en va tout simplement de la survie économique du pays. N' oublions en effet pas que le Japon d' aujourd' hui n' est plus vraiment ce qu' il était. Les japonais doutent depuis maintenant plusieurs années sur de plus en plus de choses. Le modèle économique a du plomb dans l' aile, et la catastrophe du moment tombe au plus mauvais moment. Le Japon commençait en effet à peine à relever la tête, non sans un certain mal, et voilà que tout tombe à l' eau, sans mauvais jeu de mots. Et bien sûr, aujourd' hui tout est globalisé. Ce que subit le Japon, pèsera évidemment sur le reste du monde. La reprise mondiale, déjà bien fragile, n' avait évidemment pas besoin de cela, même si Dame nature a finalement toujours le dernier mot. Et ça, il ne faut pas l' oublier.

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Rien ne va plus. Un peu plus d' une heure après l' ouverture de cette deuxième séance de la semaine, le CAC décroche fortement. Il abandonne en effet pas moins de 2.70 % à l' heure actuelle, en se retrouvant donc sensiblement sous son support pertinent, à savoir le niveau des 3800 pts de la fin 2010. A 3770 pts actuellement, la situation commence à devenir sérieusement problèmatique. Les dégagements se font en effet de plus en plus massifs. Le Japon a mis un sérieux coup de sabre au moral des investisseurs qui avaient pourtant retrouvé une certaine confiance. Tout est désormais à refaire.

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Le pauvre SARKOZY continue à accumuler les casseroles. Ce n' est pas nouveau. D' un point de vue économique, le " SARKOGRAPH " reste  à la peine. La moyenne mobile du " SARKOGRAPH " depuis l' arrivée au pouvoir du monarque se situe à hauteur des 4136 pts pour un cours actuel de l' indice à 3934 pts, soit 200 points en dessous. SARKOZY loupe donc le coche une fois de plus. Pour rappel, le CAC caracolait à plus de 6000 pts à son arrivée il y a maintenant bientôt 4 ans, pour s' écraser à moins de 2500 pts au plus fort de la crise, c' est à dire il y a tout juste deux ans. Economiquement parlant, on peut donc en déduire que l' ère SARKOZY n' aura pas fait que du bien à l' économie, bien au contraire. Ses " petits copains commes cochons " rétorqueront évidemment que leur maître absolu n' a pas eu de chance, dans la mesure où la " grosse " crise est passée par là au moment où il ne fallait pas. Sauf que la politique c' est justement d' anticiper les choses, or le moins que l' on puisse dire est que SARKOZY n' a rien vu venir. Les prémices de la crise dans laquelle nous sommes embourbés étaient pourtant palpables dès le printemps 2006, soit un an avant son arrivée aux affaires. Le bilan " SARKOZY " final est donc loin d' être appréciable, et pour changer la donne les 14 prochains mois n' y suffiront évidemment pas.

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La valeur poursuite son " petit bonhomme " de chemin a restant assez droite dans ses bottes. Le rebond technique opéré au début de cette année 2011 tient bon. Au stade actuel, on peut donc envisager qu' il s' agissait véritablement du point bas. L' objectif des 4.89 a été cassé de belle façon le 18 février dernier. Dans la foulée, la valeur est même allée chercher un autre résistance, à savoir le 5.57 du 17 juin 2010. Mais point trop n' en faut, le titre retrace donc tranquillement depuis. Il évolue en effet actuellement au dessus des 5 euros en ayant testé au passage l' ancienne résistance ( devenue de nouveau support ), à savoir le 4.89. Le mouvement haussier reste donc dans les clous pour le moment. Rien à signaler de particulier. Il suffit juste d' attendre que les choses repartent de plus belle.